Insomnie à la périménopause
Causes, symptômes et solutions naturelles
Sommaire:
- 1. Comprendre ce qui se passe dans votre corps : la physiologie du sommeil à la ménopause
- 2. Symptômes, causes, facteurs aggravants et conséquences
- 3. Les 10 leviers d’hygiène de vie qui transforment réellement les nuits
- Conclusion : votre sommeil n’a pas disparu – il se transforme
Il y a un moment, dans la vie d’une femme, où les nuits commencent à raconter une autre histoire : celle d’un corps qui se transforme, d’un équilibre qui bouge, parfois sans prévenir. On se réveille trop tôt, ou en plein milieu de la nuit, avec cette sensation étrange d’être « allumée de l’intérieur ».
La tête s’emballe, la chaleur interne monte, le cœur veille malgré nous… puis le matin arrive, chargé d’une fatigue lourde, diffuse, profonde.
Si vous êtes ici, c’est sans doute que vos nuits se délitent.
Et que vous cherchez enfin une explication claire, humaine, complète… mais aussi des pistes concrètes pour retrouver un sommeil doux et stable.

Bonne nouvelle :
Il existe une logique à ce que vous vivez — physiologique, émotionnelle, hormonale, parfois médicale.
Et surtout, il existe des solutions naturelles, puissantes, simples à adopter, qui permettent de reprendre la main progressivement, en douceur.
Ce guide rassemble ce qu’il faut savoir pour vraiment comprendre vos nuits : les mécanismes hormonaux, les causes possibles, les symptômes à repérer, les investigations utiles, mais aussi les leviers de l’hygiène de vie naturopathique, la phytothérapie, l’aromathérapie, les hydrolats, l’oligothérapie et les compléments alimentaires.
Un article clair et concret.
1. La physiologie du sommeil à la (péri)ménopause
Le sommeil repose sur un équilibre subtil entre les hormones, la température corporelle, le système nerveux et les rythmes circadiens. Lors de la (péri)ménopause, ce système se réorganise. Voici un résumé de ce qui se passe au nihormonal, pour aller plus loin lisez l’article: Préménopause, périménopause, ménopause: enfin y voir clair
La baisse des œstrogènes
Les œstrogènes participent à la stabilité thermique et au sommeil profond. Leur diminution :
- augmente la sensibilité aux variations de température
- fragilise le sommeil lent
- déclenche bouffées de chaleur et sueurs nocturnes
Le retrait de la progestérone
La progestérone agit comme un sédatif naturel.
Quand elle diminue, on observe souvent :
- endormissement plus long
- sommeil plus léger
- ruminations plus présentes le soir
La réduction progressive de la mélatonine

Avec l’âge et les fluctuations hormonales, la production de l’hormone du sommeil, la mélatonine baisse.
Conséquences :
- endormissement plus tardif
- réveils nocturnes plus fréquents
- réveils précoces
Un sommeil qui devient plus fragile
La ménopause modifie naturellement l’architecture du sommeil :
- plus fragmenté
- davantage de micro-réveils
- moins de sommeil profond
Votre corps ne “bugue” pas : il change. Et vous pouvez l’accompagner.
2. Symptômes, causes, conséquences: tout ce qu’il faut repérer
Symptômes typiques
- endormissement ≥ 30 minutes
- < 6h de sommeil au moins 3 nuits/semaine
- réveils nocturnes + difficulté à se rendormir
- réveil trop tôt
- sommeil non réparateur
- fatigue, somnolence
- difficultés d’attention, de concentration et de mémoire
- ruminations liées au sommeil
Causes physiologiques

- baisse œstrogènes
- retrait progestérone
- baisse mélatonine
- thermorégulation instable
- bouffées / sueurs nocturnes
Facteurs émotionnels

- stress chronique
- charge mentale
- anxiété, angoisse
- choc émotionnel
- préoccupations et ruminations
Effets dus au mode de vie
- rythmes irréguliers
- excès d’écrans
- sédentarité
- dîners tardifs et riches
- consommation d’excitants
- siestes prolongées au delà de 15-20 minutes
Causes médicales possibles
- ronflements, suspicion d’apnée
- problèmes urinaires nocturnes
- douleurs articulaires ou musculaires
- troubles digestifs
- syndrome des jambes sans repos
- hypothyroïdie
- pathologies cardiaques ou respiratoires
En cas de doutes, rapprochez vous de votre médecin pour investiguer plus précisément, voir plus loin « investigations médicales utiles ».
Conséquences à ne pas négliger
- fatigue chronique
- irritabilité, fragilité émotionnelle
- hypertension
- prise de poids
- hyperglycémie
- risque cardiovasculaire
- aggravation des symptômes climatériques
Investigations médicales utiles

À évoquer avec un médecin si :
- ronflements importants
- pauses respiratoires
- fatigue extrême
- douleurs persistantes
- perte de poids inexpliquée
- troubles urinaires sévères
- suspicion de trouble thyroïdien
👉 La polysomnographie n’est pas un examen de première intention.
Elle est prescrite uniquement si un trouble du sommeil spécifique est suspecté.
3. Les 10 leviers d’hygiène de vie qui transforment vos nuits
1) Stabiliser les horaires (lever/coucher réguliers)
Pourquoi ça marche

- Le cerveau règle le sommeil sur un rythme circadien (horloge interne). La régularité synchronise l’horloge (noyau suprachiasmatique), stabilise la mélatonine le soir et la cortisolémie le matin.
- Une heure de lever constante maintient la « pression de sommeil » (accumulation d’adénosine), évite les décalages de phase et diminue les réveils nocturnes.
Comment faire
- Fixez une heure de lever (tolérance ±30 min), même le week-end.
- Décidez d’un couvre-feu : heure à laquelle on commence à fermer la soirée (ex. 22h).
- Si vous devez récupérer, sieste flash < 20 min avant 15h (sinon, vous rasez la pression de sommeil du soir).
Exemples
- Lever 6h45 tous les jours, coucher 22h45–23h15.
- Réveil doux (lumière naturelle/lampe d’aube), pas de snooze en série.
Erreurs fréquentes
« Grasse mat’ » > 1h le week-end → décalage du rythme + difficultés d’endormissement le dimanche soir.
2) Rafraîchir la chambre
Pourquoi ça marche
- L’endormissement survient quand la température centrale baisse (vasodilatation distale, transfert de chaleur). Une chambre fraîche & obscure facilite ce gradient.
- Le noir profond évite l’inhibition de la mélatonine par la lumière.
- Une couette légère et des surfaces rafraîchissantes limitent les micro-réveils liés aux sueurs nocturnes.
Comment faire
- Visez une chambre fraîche et obscure.
- Couette plutôt qu’une couverture : fibres polyester (plus légères que le duvet), grammage ≤ 250 g/m² pour moduler la chaleur.
- Ajoutez sur-oreiller et/ou sur-matelas rafraîchissants si bouffées/sueurs.
- Vêtements de nuit légers, textiles respirants.
« Le corps s’endort mieux lorsque la température centrale diminue. »
Dre Armelle Rancillac, neurosciences du sommeil
Exemples
- Aération 10 min avant le coucher ; rideaux occultants ; petite bouteille d’eau fraîche à portée de main.
Erreurs fréquentes
- Sur-chauffer la chambre « pour se détendre » ; accumuler des couches de couvertures ; veilleuses trop lumineuses.
3. Dîner plus tôt et plus léger (chrononutrition)
Pourquoi ça marche

- Un repas copieux/tardif augmente la thermogenèse post-prandiale et stimule l’alerte digestive (système nerveux sympathique de l’action, l’urgence)
→ endormissement retardé et réveils. - Un repas plus tôt + plus léger favorise l’insuline sans pic, stabilise la glycémie nocturne et réduit ainsi le risque de réveils nocturnes et d’insomnie pendant cette phase fragile de la périménopause.
Comment faire
- Dîner au moins 2h avant le coucher, dans l’idéal 3h quand c’est possible.
- Assiette végétale majoritaire + petites parts protéinées digestes (œuf, poisson blanc, légumineuses douces, tofu…) + graisses « douces » (huile d’olive).
- Et si peu ou pas faim, testez les monodiètes.
- Éviter les plats très gras/sucrés, l’alcool, les desserts sucrés tardifs.
Exemples
- Bol : salade verte + quinoa + légumes rôtis + filet d’huile d’olive & citron.
- Soupe de légumes + oeuf coque ou truite vapeur + fruits cuits.
Erreurs fréquentes
« Sauter » le dîner puis grignoter sucré à 22h → pic glycémique puis hypo de rebond vers 3–4h qui déclenche un réveil.
4) Excitants & glycémie : couper les freins invisibles
Pourquoi ça marche
- Caféine/théine bloquent l’adénosine (signal de pression de sommeil) 6–8 h durant.
- Les pics glycémiques du soir entraînent hypoglycémies réactionnelles vers 3–4h (réveil, cœur qui bat).
- L’alcool fragmente le sommeil (réduction du sommeil paradoxal) et favorise les réveils.
Comment faire
- Dernier café/thé avant 14–16h (selon sensibilité).
- Privilégier infusions le soir (tilleul, verveine, passiflore…).
- Dîner à index glycémique modéré ; si réveils 3–4h, tester collation 1h avant coucher : yaourt végétal + quelques noix (protéines + lipides = glycémie stable).
Exemples
- Remplacer le thé noir de 17h par rooibos ou tester les hydrolats pour apaiser les symptômes de la préménoapuse: rose, camomille ou de fleur d’oranger dilué, vous aideront à un meilleur sommeil.
Erreurs fréquentes
- L’apéritif pour se détendre après le travail ; jus de fruits/desserts sucrés le soir.
5) Mouvement quotidien bien timé
Pourquoi ça marche
- Une étude a montré l’amélioration des symptômes de la (péri)ménopause, particulièrement le sommeil grâce à une activité physique douce et régulière.
- En effet, l’activité physique améliore la pression de sommeil, régule l’HPA (axe du stress: Hypothalamus – Pituitaire – Adrénaline), augmente le sommeil profond et abaisse l’inflammation de bas grade.
- Trop tard/trop intense → hausse de la température centrale et du cortisol : endormissement retardé.

Comment faire
- Bouger tous les jours : 30–45 min en journée ou fin d’après-midi.
- Mélange : marche rapide, yoga, renforcement doux.
- Étirements doux le soir (pas de sports intenses tardif).
Exemples
- 30 min de marche après le déjeuner + 10 min d’étirements le soir.
Erreurs fréquentes
- Sport cardio à 21h ; écran juste après l’entraînement ; douche chaude qui fait remonter la température.
6) Baisser la température corporelle le soir (reset thermique)
Pourquoi ça marche
- L’amorçage du sommeil suit la baisse de la température centrale.
- Un bain/une douche tiède provoque une vasodilatation cutanée : le corps relargue la chaleur.
- Bras/visage dans l’eau froide : micro-reset thermique quand une bouffée monte.
Comment faire
- 60–90 min avant coucher : douche tiède ou bain tiède (pas chaud).
- En cas de bouffées nocturnes : eau fraîche sur poignets/avant-bras/visage, respiration lente 2–3 min.
Exemples
- Bassine d’eau fraîche près du lavabo ; brumisateur au chevet.
Erreurs fréquentes
- Bains très chauds tardifs ; s’enrouler sous une couette lourde après une bouffée.
7) Détox digitale (lumière & charge mentale)
Pourquoi ça marche
- On le sait, beaucoup d’études le montrent, la lumière bleue inhibe la mélatonine, fameuse hormone du sommeil (action rétinienne active le système nerveux central).
- Le scroll maintient l’alerte cognitive et émotionnelle (décharge de dopamine, noradrénaline = hormones de stress).
Donc que ce soit à n’importe quelle période de la vie, les écrans avant de s’endormir garantissent une plus forte chance d’insomnie, et tout particulièrement à la périménopause où notre corps est plus sensible!

Comment faire
- Coupure écrans 60–90 min avant dodo.
- Si usage nécessaire : mode nuit, luminosité minimale, applications calmes (lecture douce).
- Téléphone hors chambre ou en mode avion.
Exemples
- Remplacement : infusion, lecture, écriture 10 min, playlist lente.
Erreurs fréquentes
- Séries/thrillers au lit ; notifications actives ; veilleuse blanche/bleutée.
8) Rituel du soir (ritualiser la descente)
Pourquoi ça marche
- Un enchaînement prévisible conditionne le système nerveux (conditionnement pavlovien) : à ces signaux, le cerveau « comprend » que le repos arrive.
- Ralentir la respiration stimule le nerf vague (système nerveux parasympathique de la récupération, du calme et de la détente) et prépare au sommeil. C’est comme un nouveau muscle à entraîner pour progressivement réapprivoiser son cerveau et dire adieu à l’insomnie pendant la périménopause!

Comment faire
- 30–45 min avant coucher, répétez le même enchaînement tous les soirs :
- Infusion
- Lumière chaude
- Respiration (ex. 4-6 ou 6-4-6) 5 min
- Lecture douce / étirements lents
Exemples
- « Thé-livre-lumière basse » / « douche tiède-respiration-journal ».
Erreurs fréquentes
- Varier sans cesse ; « je me couche quand je tombe » → l’horloge ne s’ancre pas.
9) Routine de rendormissement (la plupart des femmes n’en ont pas)
Pourquoi ça marche
- Avoir un protocole connu évite l’emballement (rumination → adrénaline → réveil prolongé).
- Les techniques de respiration et focalisation sensorielle réduisent l’éveil cortical et ainsi la fréquence des insomnies de la périménopause au fur et à mesure que la routine s’installe.
Comment faire
- Quand vous vous réveillez la nuit :
- Respiration 4-6 (4 s inspire / 6 s expire) × 30 cycles
- Ancrage corporel : scanner des orteils à la tête
- Lecture papier 10 min si réveil > 20 min (lumière ambrée), puis retour au lit
- Eau fraîche sur poignets si bouffée
Exemples
- Carte « Rendormissement » sur la table de nuit avec les 4 étapes.
Erreurs fréquentes
- Ouvrir le téléphone ; « ruminer la journée de demain ».
10) Écrire pour vider la tête (décharger le cortex)
Pourquoi ça marche
- L’écriture externalise la charge mentale : baisse de l’excitation corticale et du cortisol subjectif.
- Ainsi, elle rompt la boucle de rumination (« et si… »).

Comment faire
- 2 colonnes : « Je dépose » / « Je verrai demain ».
- 3 minutes suffisent.
- Terminer par 3 respirations longues.
Exemples
- Carnet dédié sur la table de nuit ; stylo qui glisse bien.
Erreurs fréquentes
- Écrire sur le téléphone ; transformer en to-do list interminable.
Bonus : mini-check global
- ☐ Lever constant (±30 min)
- ☐ Chambre fraîche & obscure, couette ≤ 250 g/m², textiles légers
- ☐ Dîner tôt & léger, pas de sucre tardif
- ☐ Pas d’excitants après 14–16h ; collation protéinée si réveils 3–4h
- ☐ Mouvement quotidien (plutôt en journée)
- ☐ Reset thermique (douche/bain tiède ; eau fraîche si bouffée)
- ☐ Coupure écrans 60–90 min
- ☐ Rituel du soir (toujours le même)
- ☐ Routine de rendormissement prête
- ☐ 3 min d’écriture avant dodo
Votre sommeil n’a pas disparu — il se transforme
Et comme pour tous les autres symptômes, l’insomnie à la périménopause n’est pas une fatalité.
La (péri)ménopause ne vous enlève pas votre sommeil : elle en change les règles. Ce qui demande une adaptation, un nouvel apprentissage — mais certainement pas une résignation.
Les réveils nocturnes ne sont pas une fatalité. Ils sont le reflet d’un corps en mouvement, qui cherche un nouvel équilibre.

Et la beauté de la naturopathie et des rituels d’hygiène de vie, c’est leur capacité à faire équipe avec vous, sans violence, sans forcing, sans nier ce que vous vivez.
Vous pouvez réellement retrouver des nuits plus paisibles, plus longues, plus stables.
Pas en un jour.
Mais progressivement, naturellement, durablement.
Partagez en commentaires vos astuces personnelles pour mieux dormir et vos questions pour élargir les possibles!
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7 commentaires
Laetitia · 15 décembre 2025 à 8h52
Merci pour cet article.
Il est concret, rassurant et surtout très respectueux de ce que vivent les femmes en péri-ménopause. Relier les réveils nocturnes et l’insomnie à un ensemble (rythme, contexte, physiologie, charge mentale…) plutôt que de réduire ça à un truc à régler rapidement.
Aider sans culpabiliser, donner des pistes accessibles et remettre du pouvoir d’action dans le quotidien.
Je le garde sous le coude et je vais clairement le partager autour de moi.
Mes Remèdes Naturels · 15 décembre 2025 à 14h51
Merci Laetitia pour ce rtour, heureuse de savoir que ces conseils pourront servir autour de toi!
Valérie Matime · 15 décembre 2025 à 10h18
Ce texte apporte des clés précieuses pour mieux vivre la périménopause, en invitant à plus d’écoute du corps et à une prise en charge globale et bienveillante.
Mes Remèdes Naturels · 15 décembre 2025 à 14h53
Merci! C’est tout à fait ça qui me tient à cœur, la vision globale et bienveillante!
Aurélie JUR · 15 décembre 2025 à 20h47
ah l’adénosine! ce n’est pas souvent que je vois ce terme dans ce type de blog. eh oui, moi qui ADORE le café, c’est pour ca que je l’ai arrêté à certaines heures.
Tres clair cet article. Ceci dit je me dis que tes conseils seraient aussi tres efficaces pour tout le monde non? 🙂 Ceux sont des conseils très sains pour avoir une vie au top
Mes Remèdes Naturels · 15 décembre 2025 à 20h56
Merci pour ton commentaire, Aurélie! Et oui je suis tout à fait d’accord avec toi, c’est ce que je me dis souvent quand j’écris les articles, mais c’est encore plus vrai au moment de la ménopause, où notre corps vit une transition et est plus vulnérable😉!
C’est la magie et l’intelligence de l’hygiène de vie naturelle et holistique (ou le Vivant si tu préfères), ça joue sur tous les plans de l’être😊
Béa · 16 décembre 2025 à 17h48
Merci pour ton article qui m’a fait découvrir qu’une routine est indispensable. Et cette phrase :
« Les réveils nocturnes ne sont pas une fatalité. Ils sont le reflet d’un corps en mouvement, qui cherche un nouvel équilibre. »